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Crise imprévisible, et Crises imprévues
« Le pire n’est jamais certain », c’est probablement ce que devait se dire Edward John Smith capitaine du paquebot le Titanic, avant d’avoir à gérer l’une des pires crises de l’histoire maritime.
L’un de ses propos, depuis New York en 1907 est resté célèbre hélas :
« Je ne peux imaginer aucune condition qui pourrait faire sombrer un navire, pas plus que je ne peux concevoir, qu’une catastrophe frappe notre navire. La construction navale moderne a dépassé ce stade. »
Ces propos remontent au début du dernier siècle, peu avant la catastrophe qui frappa le légendaire navire le Titanic, en Avril 1912, où par ailleurs le légendaire barbu à l’âge de 62 ans, Edward J. Smith y laissa la vie.
Pourtant l’expérience ne lui manquait pas, il était devenu « le commodore », de la White Star Line, c’est-à-dire le commandant en chef des plus grands et gros navires de la compagnie, et chaque nouveau navire, lui était attribué d’office.
Tout cela pour dire, que les crises, ne sont jamais prévues ni prévisibles dans leur déroulement et/ou dans leurs effets, et ‘est pour cela qu’il convient d’anticiper et de simuler via des outils adaptés et préparés pour cela.
Qu’est-ce qu’une crise
Les crises peuvent être de type externe ou interne, mais dans les deux cas, ce sont des situations exceptionnelles qui surviennent (apparaissent) sans que l’on les attende, et qui parfois peuvent se dérouler en plusieurs étapes.
Pour synthétiser, nous pourrions dire que la première étape est l’accident en lui-même, la seconde étape sera l’inquiétude (angoisse) que l’accident provoquera, enfin la dernière étape sera son ampliation, et les mesures prises pour y faire face et remédier, l’ensemble se dénommant situation de crise.
La crise selon les experts est une décision entre plusieurs choix possibles, et la gestion de crise, n’est que la gouvernance de la dite crise, par extension la crise est aussi souvent liée à des troubles, ou des désordres graves de tous types.
Tous les types de risques qui peuvent en résulter
Les risques sont multiples et complexes, vous avez les risques naturels : cyclones ouragans, tempêtes, glissements de terrain et bien d’autres phénomènes naturels, généralement non provoqués par les humains.
Ensuite on pourrait parler des risques naturels (appelés aussi parfois les risques artificiels) mais cette fois-ci provoqués par l’homme, ou bien qui sont la conséquence d’erreurs humaines, rupture de barrages, effondrement des ponts, rupture de canalisations, effondrements des routes.
Les risques technologiques ou risques industriels, comment ne pas parler des : explosions et autres accidents gravissimes : AZF Toulouse en 2001, Seveso en 1976, Bophal en 1984, Tchernobyl en 1986, qui ont mis les populations en émoi et à juste titre, car ils provoquèrent la mort de milliers de personnes.
En parlant de risques, comment ne pas aborder le risque certain ou le risque accepté diront d’autres, si vous fumez et vous buvez vous vous exposez forcément à des ennuis de santé, pratiquement certains.
Les risques imposes, quand tout petit on vous vaccine et vous n’avez pas le choix, certaine réactions sont parfois sévères, même si la casualité peut être hypothétique, les faits sont là, et vous n’avez pas forcément voulu ce vaccin.
Les risques théoriques, basés sur des postulats ou des « on-dit », exemple : l’allaitement est un risque théorique de transmettre le VHC au nourrisson, le lait maternel étant par nature, la meilleure des nourritures.
Les risques virtuels, comment se faire à l’idée que les bons petits plats, répétés et répétés remplissent les hôpitaux et les cimetières. Vivons dangereusement, rouler à 200 kms/heure, sur une route limité à 90 kms/heure est un risque certain et non virtuel, et les milliers de morts annuels en France le prouvent.
Le risque réel ou risque objectif, c’est la probabilité qu’ont les montagnards de dévisser ou bien de se prendre une pierre sur la tête, si ce n ‘est une avalanche, évidement qu’une personne sans expérience qui entame une escalade inconnue, prend un vrai risque, qu’il ne peut contrôler.
Le risque zéro, c’est le risque qui n’existe pas, il y a toujours un risque. Certains diront que le risque zéro est un mirage, une illusion, un mythe, en réalité et les faits le prouvent, il n’y a jamais de risque zéro, cela n’existe pas.
Le risque perçu, est très actuel et à la mode, avec tous les sondages sur les élections, le risque de voter pour un tel, et qu’il soit incapable de gérer les crises d’un pays, est une évidence chaque jour commentée par les journaux.
Après avoir parlé des risques et des crises, nous trouvons sympathique de finir le présent article par un clin d’œil, LA CRISE est aussi une petite rivière française longue de 24 kms, qui nait à 162 mètres d’altitude et se jette dans l’Aisne à Soissons à 46 mètres d’altitude, elle traverse ChaCrise et Rosières-sur-Crise.
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